En dehors de ces dîners, nous avons pu goûter entre autres bouteilles un Chablis grand cru Grenouilles 1976 du Domaine de la Maladière qui s’est révélé exceptionnel de fruit et de typicité, et un Yquem 1986, que nous avions goûté peu de temps avant sans réel plaisir, et qui, ce soir là, fut au contraire un grand moment. Ceci montre qu’il ne faut jamais être définitif ou péremptoire sur un vin : tant de facteurs concourent à la formation de la sensation du vin. Restons humbles sur nos jugements.