On peut assez aisément imaginer ma fierté de faire le prochain dîner de wine-dinners en ce lieu merveilleux. C’est dû évidemment à l’extrême générosité de Pierre Lurton mais aussi à mon "passeport", un Yquem 1861 dont le château n’a aucune bouteille.
La bouteille a un bouchon qui doit être d’origine. Elle a évidemment souffert, mais le liquide me plait. Une petite fuite a sali l’étiquette. Grande angoisse sur ce que ce sera. J’ai pris à titre de secours une très jolie Yquem 1938. Mais comme me l’a dit Valérie Lailheugue, agréable correspondante au château, "vous savez, on a aussi des solutions de secours".
Les autres bouteilles sont sans histoire. J’attends beaucoup d’un Corton 1929 qui m’est inconnu.