L’Académie Amorim fête ses vingt-cinq ans. Cette académie, fondée par Jacques Puisais et quelques autres personnalités du vin avec le soutien de la famille Amorim, propriétaire du plus grand bouchonnier mondial, a pour but de soutenir l’œnologie et de contribuer à une meilleure connaissance du vin et de son environnement. A l’occasion de cet anniversaire, un livre, ouvrage collectif a été publié aux éditions « France Agricole », sous le nom « L’ADN du Vin » et sous-titre « Science, marché, loi et culture ».
J’avais eu la chance qu’une étude que j’avais faite sur les bouchons des vins anciens soit couronnée d’un prix de l’Académie Amorim en 2006. C’est sans doute la raison pour laquelle j’ai eu l’honneur qu’on me demande de contribuer à cet ouvrage dans l’un des trois chapitres, « Vin et Culture ».
Le jour du lancement, un colloque est organisé par l’Académie Amorim dans l’un des salons du Sénat avec trois tables rondes, donnant lieu à débat. C’est toujours passionnant d’écouter des experts disserter sur des aspects du vin qui sont assez loin de mes préoccupations d’hédoniste du vin, tels que l’influence du réchauffement climatique sur les choix de cépages, la législation des appellations et la protection des marques, etc. Écouter cet aréopage de savants est d’un grand intérêt.
la couverture du livre et la première page de mon article