Cet article de Frédéric Durand-Bazin évoque le 196ème dîner au siège de Veuve Clicquot dont le récit peut être lu ici :
On a l’impression que le journaliste, invité au dîner, n’a pas vécu le même que celui que nous avons vécu, qui a ravi les convives. De même que les votes sont tous différents dans mes dîners, je peux concevoir que les avis soient différents, ce qui justifie que je publie cet article, même si je ne suis pas d’accord sur le mot « déception » inapproprié à la joie des convives.